Je vais m'autoriser à te citer un peu dans le désordre Safet. J'espère que tu n'en prendras pas ombrage, ce n'est que pour mieux proposer une réponse lisible dans sa progression.
PréambuleC'est pourtant simple de ne pas se voiler la face ou se chercher des excuses bidon..
Faut-il voir les choses ainsi ?
Robur - moi
- pose-t-il le mec qui se voile la fasse et [se] cherche des excuses bidons ?
A contrario
Ad/Safet sont-ils de ceux qui sont d'une lucidité sans faille ?
Pour échapper à la polémique, je vous propose d'exposer ce qui apparaît à mes yeux comme le vrai fond du débat.
Voyons si vous acceptez le déplacement.
Tentons de reproblématiser le débatMoi je le dis clairement, les résultats de Lacombe sont à chier, clairement à chier, presque du jamais vu au PSG.
Et pourtant je ne l'estime pas responsable, du moins pas tout seul et en aucun cas je veux me faire sa peau...
Non, sincèrement, loin de moi l'idée de penser que Lacombe est responsable de tous les maux du PSG.
Moi je crois d'avantage à ce phénomène d'osmose qui prend ou ne prend pas, un peu comme à la loterie, permettant ainsi à un entraineur d'y mettre sa patte petit à petit.
C'est moi qui met en gras dans les extraits.
Mais alors, je pose la question. Si ce n'est pas "Lacombe" le responsable de "tous les maux du PSG"...
Quels sont ces maux ?
Qui est responsable ?
Qui peut y faire qqche ?
Car là est, à mes yeux, le
"coeur" du problème. Du vrai problème du PSG, c'est à dire
"les autres problèmes".Qu'est donc le PSG avant une équipe si ce n'est un club, et dans notre cas,
un club à problème ?
N'est-ce pas là le défi auquel nos équipes de direction successives (entraineur - manageur compris) ont eu à se confronter en premier - parallèlement avec l'obtention de bons résultats pour l'équipe - sans jamais en avoir les moyens ?
Si je peux me permettre de soulever un ou deux des points que tu évoques Robur, je commençerais par te dire que ton éloignement actuel t'aide à avoir une vision des choses plus relative et moins exacerbée par ce que si je me place dans MON propre contexte
Je vais te faire une confidence. Enfin, une confidence un peu public quand même...
Je crois que cela fait déjà quelques années que j'ai cessé d'attendre des résultats sportifs du PSG. Non, rassure toi, ce n'est pas un deuil ad vitam eternam - paix à son âme
. Ce n'est que le résultat d'un constat mûrement construit - si j'ose ce manque de modestie - qui s'accomode également d'un moindre investissement passionnel de ma part comparé à certains ici - ce n'est pas un jugement, rassurrez-vous.
Quel est ce constat ?
Il est à la base de la thèse que je vous ai exposée avant-hier. Il constitue les prémisses indispensables à saisir pour débattre de manière non stérile.
Ma première prémisse est la suivante : Tant que le PSG était géré par Canal+, le club ne pouvait pas marcher. Non en raison d'un quelconque complot, mais parce qu'il était l'objet de multiples enjeux extra-sportif. Et si le club ne fonctionne pas de manière pérenne, l'équipe ne le peut pas plus. Elle pourra faire des coups (merci Lamoustache), tenir une saison (merci Vahid)... mais pas s'inscrire dans une durée.
Elle s'adjoint d'une seconde prémisse. Maintenant que le PSG a été revendu, il n'y aura
pas de résultats durable de l'équipe tant que le club n'aura pas été reconstruit.
Ma vraie thèse est donc la suivante : il faut reconstruire un club pour reconstruire une équipe. Mais qu'est-ce qu'un club ? Je ne sais pas. Je trouve que Cold en parle assez bien quand il évoque la Juve, Mu, le Bayern, Arsenal... Enfin ça me parle.
Un club, c'est...
- une direction avec un projet
- une équipe qui partage des valeurs et comprend le projet
- des gens compétents à différents postes et qui ont le tps de prendre leurs marques, de toucher la particularité du PSG, etc.
- un camp d'entrainement
- une image tenue à travers une histoire faisant référence vis-à-vis du jeu, du recrutement, de la culture, de la place des joueurs, de...
- des équipes de jeunes...
etc.
Peut-être que surtout, un club c'est une équipe d'encadrement et de joueurs qui se renouvellent sans perdre en qualité. Comme ils y arrivent à Lyon, au Milan AC, etc.
Ad parle à très juste titre de
"continuité. Il y a club quand ses résultats s'inscrient dans la continuité. J'entends par "résultats" des résultats positifs hein. Parce que depuis 10 ans, à ce titre, le PSG est un club !
Il ne peut y avoir d'équipes - notez mon emploi du pluriel... ça implique une durée -
sans club.Et le PSG n'est un pas club qui marche.
Donc il ne peut avoir d'équipe qui marche.
Si on devait faire un classement des clubs, je placerai d'ailleurs le PSG à son niveau actuel : dans le ventre mou du championnat de France.
Tenez, hypothèse jetée comme ça : quand on regarde le classement, quelles sont les équipes qui marchent au fil des années si ce n'est celles qui s'appuient sur des clubs bien construits ?
Lyon.
Lille.
Auxerre - malgré ses soubressauts depuis le départ de Guy Roux.
Bordeaux.
A contrario, quels sont ceux qui se plantent ?
Nantes
Monaco
Toulouse
St Etienne
Nice
PSG
Pour l'OM, arrivent-ils enfin à travailler sur la continuité de 2 ou 3 années ?
Ils gardent leur star, Ribery.
Le changement d'entraineur se fait vraiment dans la continuité : de la maison (Emon y est depuis le début des années 90 si je dis pas de bêtises), de l'équipe construite (Emon était l'adjoint de Fernandez et en garde les grands principes de jeux).
Pour finir, je voudrai
nuancer mon propos en reconnaissant qu'il est bien dur de construire un club sans résultats sportifs et, a contrario, beaucoup plus facile de le faire quand on a ces fameux résultats.
Néanmoins,
même avec les résustats - rappelez-vous l'équipe de Vahid -
ça ne suffit pas. Voilà une des pierres angulaires de ma contestation des thèses de Ad, Safet et ceux qui s'y joignent - on va faire des camps !
.
Car les résultats sportifs sur le court terme sont toujours soumis à pleins d'aléas. S'il n'y a pas de club derrière, l'équipe explose en plein vole. Tous les clubs cités plus haut en sont une parfaite illustration à mes yeux. A contrario, voyez à Arsenal, Wenger n'explose pas en plein vole. Pourtant, il a eu des périodes bien difficile.
Cela explicité, deux pistes de débats s'ouvrent à mes yeux.1) vous trouvez que ma thèse est bancale, foireuse... Causons-en !
C'est un vrai préalable amha si on veut éviter les débats stériles où chacun campe sur sa position à mort.
D'ailleurs je ne suis pas du tout le fait de débattre de la pertinence du travail d'un coach. Pour pleins de raisons, je n'ai pas été mécontent du limogeage de Fournier. Même si c'était discutable. Justement, c'est discutable. Toute la question est de savoir de quoi l'on discute ! Or, passé la question des résultats qui est incontestable mais un peu étroite, c'est le reste, tout le reste qui m'intéresse.
2) Vous êtes d'accord, intéressons-nous alors à notre Moustachu.
Parlons posément du Moustachu[Attention, à partir de là, je pars du principe que l'on s'est accordé sur le point 1. Je sais, c'est un peu démago de ma part, mais bon...]Avant toute chose, je voudrais bien insister sur un point.
Lacombe a été élu meilleur technicien par ses pairs en 2003 si je ne dis pas de bêtise. Il est reconnu pour son travail dans tous les clubs où il est passé. Il a formé un paquet de bons joueurs, voire de stars.
Je suis donc assez surpris quand je lis que Lacombe n'est pas bon, qu'il est une truffe ou incompétent à faire jouer des mecs ailleurs qu'à leur poste.
Soit Lacombe est une truffe, quelque soit le club. Vous pouvez avoir cet avis - je ne sais pas sur quels éléments mais qu'on me le démontre.
Soit il n'est pas une truffe, et alors ses difficultés et les réponses qu'il élabore dépasse la simple question de sa compétence.
Il peut y avoir des conflis humains ? Ca arrive avec n'importe qui je suppose. Est-ce le cas Dhorasso ? Est-ce rédhibitoire ?
Il peut ne pas avoir les épaules pour le PSG ? Je n'en ai pas l'impression, bien au contraire.
Ou il peut rencontrer des problèmes qu'aucun entraineur n'a résolu depuis 1998, voir depuis Arthur Jorge.
Si oui, lesquels ? Sont-is (in) dépassables ?
Lacombe travaille-t-il dans ce sens ?
Pensez-vous qu'il le fait bien ?
A partir de quand pourra-t-on le juger sur pièce ?Voilà plutôt ce dont je voudrais parler.
"Mais en bref, je dirai que quelque part, se contenter de juger Lacombe sur ses résultats et ses résultats sportifs uniquement et de façon comptable, c'est presque lui rendre service et se voiler un peu la face sur les nombreux autres problèmes."
Voilà le coeur du débat partout : "les nombreux autres problèmes" que l'on pourrait (ou pas) trouver avec notre Moustachu.
Je crois que tu les évoques dans la citation qui suit. Je la reprends pour ouvrir le débat cher à Ad-Vitam - et à mes yeux, il faut bien l'avouer !
Crois tu sincèrement que les points soulevés en éxemple vont donner plus de crédits à nos moustaches?
Faut-il que l'on parle de la communication avec la presse? Après les histoires Yepes, Dhorasoo, Rothen et consorts...?
Faut-il que l'on parle de la cohésion du groupe alors que Dhorasoo nous dit: "Pédro est d'accord avec moi" alors que celui ci ne confirme pas..
Faut-il que l'on parle de la cohésion du groupe quand on apprend que Kalou à mis un bourre-pif à Mendy?
Faut-il que l'on parle de la cohésion du groupe quand on voit Pédro gueuler sur Mendy ou Pancrate sur le terrain?
Faut il que l'on parle de l'adhésion au projet quand on entend Rothen ne pas comprendre qu'on ne lui dise pas pourquoi il ne joue pas, quand Yepes ne comprend plus les façons de faire de son coach?
Faut-il que l'on parle de la gestion des stars quand on voit que Yepes se plaint, que Rothen se plaint et que Dhorasoo risque de se faire virer?
Vous comprendrez tous maintenant que toute réponse que j'apporterai à ces critiques sont construites dans la perspective que j'ai évoqué longuement au dessus. Perspective totalement différentes de celle d'Ad pour qui toute la situation ne se lit que sur le terrain. A ce titre, je suis en complet désaccord avec lui. Vous le verrez.
Est-ce réciproque ? Mystère...
- En même temps que j'écris et affine un peu mon propos, je lis ses réponses et du coup j'adapte un peu. Je ne vais pas m'en sortir !
-
Pour cela, je reprends un argument avancé marginalement dans mon message précédent.
Je parle de "cet été" pour commencer à évaluer le travail de Lacombe et non pas depuis sa prise de fonction. En faisant cela, je cible évidemment le "championnat", qui semble la compétition la plus "révélatrice". Je cible également la politique qu'il met en place pour cela. Qui transparit - a priori - dans cette controversée affaire du turn-over. Avec le lot de conflits - larvés ou affichés - que cela génère pour l'instant. Mon opinion en la matière est qu'il faut attendre encore pour en connaître les effets. Une fois les "clashs" passés."
Là où certains voient la preuve évidente de lourds problèmes soulevés par le cas Lacombe, vous ne serez plus surpris si je vous propose d'y voir, plus simplement, la tentative
cohérente de construire le club, son identité. Cela passe par une claire identification des rôles de chacun : avec leurs droits, leurs devoirs, leurs responsabilités, leurs moyens, leur place dans le projet.
Quand je parle de "claire identification des rôles de chacun", c'est évidemment un euphémisme.
C'est à un vrai bouleversement dans le "jeu des acteurs" - au sens sociologique de la "théorie des jeux" de Crozier - que l'on assiste.
En instaurant un turn-over, en envoyant les cadres en CFA, en jugeant les joueurs sur leur état de forme et leur adhésion au groupe, en les sélectionnant dans une logique à moyen terme... plutôt que selon la logique du salaire et/ou de la notoriété... Lacombe - et Cayzac - bouleversent les habitudes et les positions de chacun. Mieux, ils
empiètent sur diverses formes de pouvoir en place.Le pouvoir des joueurs-stars.
Le pouvoir de leurs agents.
Et probablement d'autres acteurs qui doivent perdre du pouvoir au passage.
Dis autrement, un club est d'abord une organisation avec des enjeux de pouvoirs répartis individuellement.
Et être entraineur, c'est entrainer dans une organisation ! Donc dans un jeu de pouvoirs et contre-pouvoirs diversements répartis et clairement identifiés, reconnus, encouragés...
Le
PSG est un "club" dans lequel l'ensemble de ces pouvoirs et intérêts ne convergent pas. Et où l'encadrement ne parvient pas - fautes de moyens ? - à mettre en oeuvre une politique pour obtenir cette convergence - qui ne signifie pas que tout le monde soit d'accord, simplement qu'une synergie est là, partagée.
C'est pourquoi, à la lumière de ce que je propose, je ne trouve pas les faits évoqués plus haut comme plaidant en la défaveur de Lacombe et Cayzac. Au contraire. C'est le signe, clair, que ce travail est entrepris. L'aventure tenté. Pour reconquérir un certain pouvoir, celui nécessaire à mettre en oeuvre une synergie entrainant dans le même sens - à peu près - les énergies. Dans le bon sens même.
Est-ce que ça va marcher ? Est-ce qu'ils s'y prennent bien ?
Poussons le jeu à base d'un décompte des points positifs et négatifs.
Vous pouvez le faire vous-même hein. C'est interactif.
Voilà comment je vois les choses :
- Rothen reconnait après son match en CFA que ça lui a fait du bien. Recadrage en privé indiquant qu'il s'incline ? Réelle estime du joueur pour son coach ? En tous les cas, il s'aligne officiellement sur Lacombe.
1 pt pour lui.- Yepes a été relancé contre St Etienne. Le joueur n'a jamais fait de déclarations. Et Lacombe communique dans le sens d'une relance de celui-ci. Ca me semble bien parti pour Lacombe.
1 pt pour lui encore.- Dhorasso refuse de se plier dans ce cadre là. On peut penser que le coach n'a pas su le fédérer au projet, le rattacher au groupe.
-1 pt pour lui.
Par contre, en jouant la carte de la presse, Dhorasso tente un vrai passage en force. Une vraie contestation du projet. Il refuse clairement qu'on empiète sur son pouvoir à lui de
star (confort, passe droit...), affirme le sien, et se pose ainsi contre Lacombe. En contre-pouvoir. Peut-être même qu'en faisant cela il a le soutien plus ou moins implicite des autres
stars. Autrement dit, il est la tête de front d'un mouvement de fronde.
Dans ce cas, je trouve la réplique de Lacombe en public peut-être pas si bête que ça. Il réplique sur le terrain du contre-pouvoir (la presse) en y prenant position tout en rappelant où se trouve le pouvoir régulier : celui de la loi. Autrement dit, il adresse sa réponse sur les deux terrains. Et en remportant la manche a priori. Puisque son président prend le relais officiellement, Dhorasso n'est pas suivi par les autres joueurs, ses confrères le soutiennent et il s'attire la sympathie de presse.
Il envoie ainsi un message clair aux autres joueurs : "si vous voulez jouer aux cons, faites gaf', ça va se retourner contre vous. Ici, vous n'avez pas le pouvoir. Ni les moyens de forcer la main."
Pour moi, c'est un nouveau point pour lui dans ce petit "jeu".
1 point pour Lacombe.
Reste à savoir si Caysac va suivre. Pour peu que ce ne soit pas concerté.
S'il y a excuses de Dhorasso ou son licenciement ou toute mesure qui le ramène au pas. Il y aura
1 pt supplémentaire pour Lacombe. Voire peut-être le jackpot !
- Les cas Kalou et son bourre-pif et Pauleta sont anecdotiques à mes yeux. Du moins pour l'instant. Ils sont la preuve qu'il y a une certaine tension dans le club et l'équipe. Qui en douterait au vu de ce jeu de pouvoir et des résultats ?
- Enfin pour finir, Kalou n'a pas ouvert sa gueule depuis la rentrée alors qu'il est remplaçant, qu'il ne joue pas à son poste, et qu'il était coutumier du fait auparavant. Il sent des changements ? Il se range au projet ?
Soyons fou,
1 pt pour Lacombe.Total ? - merde, je dois compter, fais chier...-
5 points positifs.
vs
1 point négatif.
A quand le gros lot moi je dis ?
Bilan ?Moi je crois d'avantage à ce phénomène d'osmose qui prend ou ne prend pas, un peu comme à la loterie, permettant ainsi à un entraineur d'y mettre sa patte petit à petit.
Rien ne permet de dire que le groupe n'adhère pas au coach.
Il n'y a que les déclarations de Dhorasso et Rothen (qui s'est repris) qui permettent de conclure dans ce sens. C'est bien maigre. Ah, si, et les résultats. Mais comme beaucoup le disent, les résultats tiennent à sochaux, quelques pénalties, un gardien un peu chaud...
Au contraire, l'on peut estimer que Lacombe mène bien sa barque pour poser une organisation où la répartition des rôles et des pouvoirs sera saine et lisible pour tous - y compris nos prétentus "stars". Ce travail n'est pas fini mais prend sacrément forme.
Est-ce que l'affaire Dhorasso en sera un des dénouements décisifs pour poser une première pierre clairemetn identifiable par tous dans ce sens ? On peut l'espérer. C'est mon cas. - je me montre optimiste puisque rien ne permet de savoir si d'autres conflits larvent en ce moment.
Il est à noter qu'on peut se demander si les résultats sportifs ne souffrent pas à court terme du type de méthode adoptée. Soit parce qu'il est impossible pour Lacombe d'obtenir des résultats probabant tant que le travail préalable n'est pas posé - pour mémoire Fernandez parlait de "fondations" à construire au PSG. Et je ne crois pas qu'il parlait uniquement de la défense... cf. Ronnie. ? Soit parce qu'il est impossible à tout entraineur dans ces conditions d'obtenir des résutlats sportifs probant - à tout le moins sur la durée.
Ce bémol est encore à nuancer du fait qu'on peut réellement constater - d'après témoins institutionnels comme la presse où vous ici - une évolution du jeu et de l'état d'esprit.
Est-ce suffisant ? Signe de lendemains qui chantent ?
Ou bien la preuve qu'il n'y aura jamais de lendemains qui chantent ?
Moi, je ne sais pas.
Pour conclureDonc, je me répète. Je préfère attendre que ce travail préalable de re-répartition des pouvoirs et des rôles soit a peu près stabilisé avant de commencer à juger Lacombe sur le terrain sportif.
Je croise les doigts pour que la chance et ces petites choses impalpables se mettent en place et poussent de notre côté. La réussite quoi.
Ca ne fera pas de mal.
Et je crois les doigts pour qu'une organisation saine et claire soit posée. Ces fondations chères à Luis. Avec Lacombe pour quelques années à la tête. Pour, lorsque Pauleta partira, ou d'autres joueurs, ou Lacombe... cela soit transparent pour le club et l'équipe.
Voili voulou.
Bienà vous.
Rob