Bonjour à tous.
Vaste programme que de parler de ce que j'aime au
Mais je vais être le premier à essayer de recenser un maximum de choses, risquant tout de même d'oublier certains trucs, tant il y aurait à dire.
J'aime 
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Je crois qu'en premier lieu vient le Parc.
Rien que son nom.. "
Le Parc des Princes " C'est énorme..
Je lisais dans le dernier numéro des
cahiers du foot qu'il était assurément le stade qui offrait la meilleure accoustique. Pour moi ça ne fait aucun doute.
Je suis presque gêné d'en parler car je sais qu'il y a des garçons ici qui auraient d'avantage le droit ou la capacité d'en parler, mais aussi loin que je me souvienne, ce qui m'aura de toute façon le plus marqué, c'est cette sensation quand vous arrivez au Parc les soirs de match ou il fait nuit dehors, les soirs ou on se les gêle grave..
Depuis que je suis gosse, je ressens toujours cette excitation un peu à part à chaque fois que j'arrive. Une sorte de frisson qui m'envahie depuis la colonne vertébrale.
Tout est tellement en contradiction avec l'exterieur... la luminosité, le bruit un peu étouffé, cette impression qu'il va y avoir le feu, une communnion de 50 000 personnes alors que tout est si sombre, si calme et appaisé dehors. Voilà sans doute ce que j'aime le plus.
Systématiquement je repense à tout les évènements qui se sont déroulés à l'interieur. Je me dis que que de
Pilorget à
Ronaldinho, de
Roche à
Kalou, ils ont tous foulé cette pelouse, ils sont tous rentrés dans ce
réel chaudron dont les côtés incurvés donnent toute leur dimension aux chants de nos supporters.
Ce frisson là je le ressens à chaque fois, je crois que je le ressentirais toujours comme je revois systématiquement la tête de mon voisin que je ne connaissais même pas au moment ou
Antoine Kombouaré marque contre le Réal et cette folie qui en suivit. Je suis persuadé que les lieux sont les seuls à enfouir tant de souvenirs. Il y a des lieux, comme une école maternelle par exemple, qui quand on passe devant, nous rappellent des souvenirs que l'on ne serait jamais allé chercher de nous même.
Mon récent déplacement à
pour la 7ème journée, dans un chaudron dont on m'annonçait l'envergure n'a fait que confirmer ce que je ressentais déja.
Quelque soit la valeur des Kops, quelque soit leur détermination, aucun stade en France (
J'en ai fait un vingtaine je crois ) n'offre autant de raisons d'avoir les poils qui se dressent sous le maillot.
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La ville. Que dire sur Paris qui n'ait pas déjà été dit ?
Pour n'en parler que dans le cadre des soirs de matchs, regarder tout le monde se pointer en
rouge et
bleu de chacunes de ces petites artères revet quelque chose de réellement magique.
Si on retrouve un peu partout en France cette odeur de merguez si significative
, nul part ailleurs je n'ai eu ce sentiment d'une prise d'assaut de la ville par ses supporters. Tout le monde se gare ou il peut, les voitures se mélangent, les gars les contournent avec une agilité incroyable entre un Lampadaire, un parcmètre et l'inévitable crotte de chien qu'une vingtaine de gars à déja bien martelée.
Là ou habituellement s'impose un énorme Parking de béton avec guichets automatiques, Paris s'enroule autour du Parc donnant l'impression qu'il n'y avait pas d'autre emplacement possible pour l'installer. Il donne presque l'impression d'être naturellement sorti de terre.
Tout en contradiction avec la Beaujoire
par exemple ou tout le monde se rend en Tramway. L'ambiance est certes sympa durant le quart d'heure de trajet
Mais le sentiment de faire partie d'une charette de bétail m'a plus rappellée l'entrée de DisneyLand ou du parc asterix
( et Obelix d'ailleurs! c'est lui qui a fait vendre la BD ) que celle de notre stade.
-J'aime bien
le fait que rien ne soit simple à Paris, même si je passe mon temps à me dire que c'est gonflant.
Je passe mon temps à me rabâcher qu'il fallait que le coup des Uruguyens nous tombe dessus
à nous, encore une fois... que ces histoires de fric, de supporters, de joueurs jamais content de leur sort nous mênent vraimant la vie dure.
Et pourtant.. Pourtant je me dis que je ne saurai plus supporter un club dont tout le monde se cogne éperduement.
Le moindre fait prend une ampleur démesurée au camp des loges, parfois ça nous fait marrer, parfois ça nous irrite, mais en tout cas ça fait toujours l'actualité.
C'est ce qui fait que même dernier au classement le
ne sera jamais un club comme les autres.
-J'aime
notre identité de Parigos, de prétentieux. J'aime Quand Rothen la revendique par exemple.
J'aime ça par ce que je ne supporte plus d'entendre que la capitale ne comporte que des bons à rien qui ne font que gueuler, faire la grêve, s'enterrer dans des bouchons et bouffer du MacDo.
J'en ai marre d'entendre qu'en Province on sait faire la différence entre un cochon et une vache, boire du bon vin, se marrer et surtout
profiter de la vie.
Mais qu'est ce qu'ils s'imaginent?
Bref, je vais pas faire le tour de tout ce que nous sommes amenés à vivre au jour le jour dans chacune de nos vies, je garderai juste en tête pour très longtemps ce gros con de Niçois qui cherchait la sous-Préfécture et qui alors que je n'avais que 15 ans et après lui avoir répondu "
Désolé monsieur, moi je suis de Paris et en vacances" m'avait répondu que je ne pouvais donc être qu'un bon à rien de Parisien.
Plus que derrière une place au classement, je me range donc derrière mon équipe pour défendre une ville, un état d'esprit et ce sentiment de faire partie de la capitale Française, une place qu'au travers d'insultes un paquet d'abrutis jalousent.
J'ai beaucoup de respet pour un Breton, un Alsacien, un Normand ou un Méditéranéen. J'aime même cette diversité qui forme notre Pays. La même chose en retour, voilà juste à quoi on voudrait prétendre ici, à Paris.
Derrière mon équipe je cherche donc à emmener la fierté d'une région comme une autre, ou il n'y a pas la mer, ni la montagne. Mais la plus belle ville du monde, rien que ça...
-J'aime bien
la fidélité des anciens.
Quelque soient leurs déstinations au cours de leur carrière, les joueurs Parisiens n'abandonnent jamais complètement le club. Celui-ci laisse je crois une trace indélébile. D'
Anelka à
Arteta, je suis sur que tous gardent un souvenir particulier de leur passage à Paris.
Aussi, si on parle régulièrement de
Lolo Fournier, d'
Alain Roche de
Moumoutte ou de
Vincent Guérin qui font partie de l'encadrement, on note aussi cette affection qui reste au fond des tripes de
Rai, cette façon qu'à
Ginola de toujours défendre ce club, quelques exemples parmi tant d'autres.
Des exemples qui me laissent penser que les moments qu'ils ont connu dans ce Parc des Princes resteront toujours gravés en eux.
Pour la jeune génération, je suis presque persuadé qu'avec tout le fric du monde, un garçon comme
Gaby Heinze ne connaitra jamais (
même si par ailleurs je lui souhaite le mieux ) équivalant en valeur affective .
Une que j'imagine encore forte dans la tête d'un
Léonardo ou d'un
Weah. Une qui fait que
Daniel Bravo se sent toujours l'envie de faire son tour au camp des loges.
J'aime nos anciens et l'affection qui continue de les habiter pour le
.
Pour parler de ce fait là, je mettrai en relief l'attitude de
Fernandez au contraire que je trouve réellement déplorable. En arriver même à remettre en cause hier l'utilité de séléctionner Jéro pour l'équipe de France... il s'amuse a cracher dans la soupe qui l'a fait grandir, par pure jalousie d'être arrivé dans son club turc à deux balles.
Son language un peu limite me faisait marrer "
Si j'aurai su, j'aurai plus mieux préféré prendre un jouor qui à dla qualité ", aujourd'hui quand il suit le vent Lyonnais pour enfoncer le PSG ça me colle des boutons.
Malgrès toutes les histoires et antécédants dont je ne connaitrais jamais la teneur, il n'a pas le droit de faire cela.
Si au pire il se contentait d'ignorer le
....
Il veut qu'on s'imagine que sans lui le PSG n'est plus rien. Je trouve ça lamentable.
Il y aurait tant d'autres choses à dire...
Je n'aime pas: En étant objectif, ...pas grand chose
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Les débordements des extémistes en tribune, évidement.
Comme vous tous, j'aimerai que notre club ne fasse plus parler de lui que par le football.
Les quelques glands du Parc nuisent vraimant trop à notre image et surement pas seulement en France. Ils ruinent un peu à eux seuls tous les éfforts des Kops pour mettre une ambiance énorme, des tifos superbes. A eux seuls ils foutent tout en l'air.
Le jour ou en plus il y aura un accident dramatique alors là nous aurons tous encore un peu plus honte de se les trimballer...
Safet qui aime même les défauts du
.
