Salut.
Demain soir, à
, le
remportera peut être son match.
Cette victoire serait bonne à prendre, surtout pour le moral dans un premier temps, même si sur le plan comptable on ne peut pas cracher dessus non plus.
Sur le plan mental, ça nous permettrait au moins de finir l'année sur une bonne note et de vivre la trêve avec un peu moins de morosité.
Si demain le
venait à remporter les 3 points, et quelque soit la manière, les journalistes trouveraient surement le moyen de nous sortir un truc du genre : "
Le Paris Saint Germain croit au Père Noël..."
Peut être aussi pourrons nous lire un peu partout que cette victoire est un bon signe pour l'avenir et j'imagine qu'à moi même elle me permettrait de reprendre confiance.
Mais l'habitude de supporter cette équipe, en règle générale et surtout cette année font que j'aurai toujours en moi, l'impression qu'on aura gagné pour mieux retomber au prochain match.
Loin de moi de vouloir rendre tout négatif.
Mais je suis face à un dilemme.
Je n'y arrive plus, mais plus du tout.
Aussi, si je devais en parler la semaine prochaine, on pourrait me reprocher, soit: de surfer sur la vague de la défaite à Troyes qui nous fait tomber à la 17ème place, soit gacher le plaisir de ceux qui sont déja content d'avoir gagné à Troyes et y croient de nouveau encore plus (et dont je ferais peut être partie...).
Alors je préfère le dire aujourd'hui, laisser comme témoin de ce moment, de cette fin d'année 2006, mon sentiment profond, celui qui me fait douter de tout.
J'ai en fait l'impression que plus rien ne me ramenera au foot, à l'envie, juste l'envie de voir évoluer les joueurs sur le terrain et ce, quelque soit le championnat dans lequel le PSG participe. Chaque match est devenu une souffrance, je stress avant, pendant, après et je supporte plus trop ça.
J'ai l'impression que cette année, tout est parti en vrille, chaque élément, les uns après les autres.
On a tout perdu.
Il y a peu de temps, je refusais encore de voir la réalité en face.
Je ne supportai pas l'idée que l'on puisse croire que ce club allait mourrir ou pouvait mourrir.
Et pourtant, force est de constater que tout penche plutôt de ce côté de la bascule.
J'espère ne pas plomber l'ambiance ou foutre le bourdon au plus positifs d'entre nous.
Croyez bien que je ne me sers pas du forum pour semer le trouble dans les esprits.
Mais si je décide d'y être sincère et le plus objectif possible, si j'essaie de laisser une trace de cette époque que nous vivons, alors oui, mon PSG à moi, est définitivement au fond du trou, et j'en crêve à un point que je n'aurai jamais pu imaginer.
J'ai lu, comme d'habitude, avec assiduité la feuille de match de Dugudu aujourd'hui.
Et j'aimerai tant Arno, ne pas te décevoir... mais je n'arrive même plus à lire le nom des joueurs.
Je n'en supporte plus aucun de ceux que j'ai pu lire, à une ou deux exception près.
Leurs noms ressemblent à présent à ceux d'anciens combattants, que l'on ne voudrait de toute façon plus revoir, de peur de raviver des souvenirs douloureux.
Je suis sur que même lorsque la plupart d'entre eux aura volé vers d'autres cieux, les noms resteront, à défaut d'avoir marqué sportivement une étape du club, pour avoir passé la plus sombre des étapes du club.
Je ne veux plus les voir porter le maillot, j'ai envie de couper court à tout.
Ceux que je juge mauvais, fénéants et même ceux qui je pense nous ont trop apportés, se sont trop investis et méritent mieux pour leur avenir que de toujours vivre dans le sacrifice.
Quand je lis cette série de noms, j'entend des noms de gens qui ont eu un problème, de près ou de loin avec l'entraineur, le staff ou le public du parc.
Je lis les noms de gens en qui plus personne ne croit réèllement.
Je lis aussi le nom de quelques gars courageux qui ont essayé de nous tirer hors de l'eau depuis 6 mois, je revois surtout leurs visages déçus, impuissants, je vois les grimaces d'Armand, de Pédro.
Cissé, Yepes, Mendy, Rothen, Pancrate, Paulo César, Frau, Baning, Traoré et Rodriguez sont ils réèllement les joueurs qui devront former le socle du Paris Saint Germain de demain?
Y'en a t-il un seul là dedans qui n'ai pas soulevé la polémique à un moment ou un autre? un qui n'ait pas eu de soucis avec le public, un qui n'ait été suspendu 4 mois, un qui ait été lynché en bon et due forme par Thiriez et ses flics de terrain?
Ils sont tous marqués, pour toujours. Trop de temps passé au front, ils ne reviendront pas, j'en suis persuadé. Pas au haut niveau, pas ici.
Est-ce avec Landreau, avec Pauleta ou Gallardo que l'on construit, que l'on démarre, que l'on repart de l'avant?
Comment feront demain, quand les opportunités de partir seront là, Kalou, Rozehnal, Armand, Chantôme, Mulumbu ou Diané pour y croire, y croire vraiment, se motiver ou re-motiver?
Comment continuer de croire en Lacombe, comment il faut faire? comment s'y prendre? j'aimerai tellement arriver à le faire.
Je promets que j'essaye de tout mon coeur. Je me force à perdre mon onbjectivité, je me force à aider ceux qui ici sont les plus forts, pour convaincre tout el monde que ça va venir, c'est sur, oui, ça va venir...
Mais il y a des moments ou c'est trop dur.
Je n'arrive plus à balayer mes convictions, ma façon d'être et de penser.
Je n'arrive plus à faire la part des choses entre l'hypocrisie bénéfique au groupe et la trahison.
Je n'arrive plus a supporter la façon qu'à Lacombe d'éviter les sujets sensibles, je ne supporte plus le manque d'honnèteté évident, sous prétexte que c'est pour le bien du groupe.
Je supporte plus les blessures diplomatiques et les rappels incessants vers le trophée remporté en grande partie par son prédécésseur.
Je ne supporte plus de savoir ce club en train de "
se re-construire" sur les mensonges.
Je voudrais voir sur le banc de touche un gars en short, baskets, survet et bonnet en train de faire des clins d'oeils à ses gars et nous dire que Rothen n'est pas plus bléssé qu'il n'y a de bords au cul.
Je voudrais que le coach nous dise que Rothen ne mouille pas le maillot et que ça va lui faire les pieds de retourner gouter à la ferveur du public monégasque.
Qu'il le dise, qu'il dise que ses résultats sont jusque là pitoyables, qu'il va s'arracher, qu'il va tout faire ou dégager de lui même dans 6, 7 ou 8 matches...
Je veux qu'il nous regarde en face, qu'il nous dise merde, qu'il en a ras le casque de cette pression débile, je veux qu'il nous demande sincèrement de lui foutre la paix.
Je veux qu'il me dise que Pancrate est une buse, quand tout le monde le sait, le voit.
Et surtout, surtout, qu'il vire sa ^$ù:!; de cravate rouge et débile, et qu'il pète un bon coup pour pas cracher son venin sur le bord de la pelouse devant des milliers d'amoureux du foot et du club, devant des gosses qui boivent tout ce qu'il voient.
On nous prend pour qui, pour quoi au final?
Quand dans chaque interview reviennent systématiquement le manque de bol malgrès un parcours extraordinaire en coupe de France?
Je ne veux décidément pas nuire à mon club.
Je ne cherche pas à savoir si je suis un bon ou un mauvais supporter, si je suis aussi souvent au stade qu'il le faudrait.
Je m'en fous, moi j'aime ce club, point barre.
Je chante pas assez? je ne porte pas assez souvent l'écharpe? je ne me suis pas tatoué assez de fois l'emblême sur le torce?
Rien à foutre je vous dis.
Je veux bien ne pas être un supporter, appellez moi amoureux du PSG si le terme vous convient mieux, d'égoiste même, de triste égoiste qui prend sans jamais rien donner.
Je me fous éperduement des termes et des façons dont il faut procéder idéalement.
Je ne me revendique pas taillé dans le pierre des perfections. Et je sais même que j'ai trop de faiblesses quand les soirs comme celui là je craque.
Je peux même passer pour un pessimiste béat et me retrouver le plus optimiste de tous dans 4 jours, quand je serai mieux luné.
Je le dis franchement même, si je devais vider les lieux pour ne pas ruiner l'optimisme ambiant, je vous jure que je serai capable de ne plus venir de ma vie, à l'instant même ou vous me l'aurez demandé, sans jamais critiquer qui que ce soit ou faire de la mauvaise pub à cet endroit. Jamais de la vie.
Moi je demande juste de pouvoir dire, sur un espace de dialogue et de reflexion, ce que je ressens au plus profond, là, au niveau des tripes.
Par ce que pour moi, y'a que comme ça qu'on s'en sort. Cache sur table.
Mais que ce soit dit une bonne fois pour toutes:
Voir Lacombe sur le banc m'exaspère, sans jamais demander sa tête ou même oser élever le ton.
Les joueurs du PSG sont des joueurs que je trouve mauvais dans la presque totalité, à l'exception de Rozehnal, Chantôme, Armand et Pauleta, et je ne crois plus en eux. Je ne crois plus en leur faculté à s'investir suffisement pour le PSG. Jamais je ne sifflerai un homme, un joueur, jamais. Même pas un adversaire d'ailleurs à y réfléchir... je trouve ça nul et c'est tout. Nul c'est le mot.
Et si les sifflets m'exaspèrent au plus au point, je pense que la publicité qu'on en fait, à force d'en parler, est négative pour le club, pour ce qu'il en ressort.
Et je souffre aussi de voir les supporters se diviser à un tel point, sur les forums comme dans la rue.
Le clan des siffleurs, des pas siffleurs, des Auteuil, des Boulogne, des Latérales, des présidentielles, des K, des J , des tout ce que vous voulez: des supporters du PSG, les blancs, les noirs, les ultras, ceux qui viennent avec femme et enfant, ceux qui viennent une fois par an, ceux qui chantent et ce ux qui chantent pas.
Sincèrement, en ce moment, ceux qui viennent voir jouer le PSG, qu'ils manifestent leurs joies ou leurs peines, avec leur cursus, leur aptitudes intelectuelles et leur vulnérabilité, je m'en fous, tout le monde est le bien venu, tant que ce qui motive c'est la passion pour le foot et le PSG.
Je ne crois plus en nos supporters.
D'un côté les méchants laissés dehors et puis les gentils laissés dehors de façon injuste, puis ceux de dedans qui sifflent les joueurs de couleur, (mais pas tous, seulement les nuls) et enfin, ceux qui ne se focalisent plus que sur ces histoires de supporters.
Je ne crois plus en ceux qui ont déja laché, plus ou moins récement, ceux que l'on ne voit plus, que l'on n'entend plus, ceux qui ne trouvent plus les mots, les excuses valables.
Je n'arrive même plus à croire en ceux qui font tout pour nous sortir de là. Plus aucun discours ne passe.
Et puis en recrutant un joueur que Monaco à laissé partir il y a bien longtemps, en recrutant celui qui est connu pour avoir un caractère assez ingérable, à 31 ans de surcroit, j'en arrive à ne plus croire à la céllule de recrutement, au staff. Les exemples Baning ou Diane ne sont certainement pas là pour me rassurer.
C'est même le plus haut poste de notre club qui s'en trouve menacé.
Par ce que comme si cela ne suffisait pas, je pense que nous avons au sommet du club, les plus gentils à une époque ou il faut être le plus méchant pour gagner.
Tu vois Ad, je voudrais que tu dises au Père Noël, quand tu le croiseras, qu'elle est bien loin l'époque ou ceux qui donnent et se défoncent sont mieux récompensés que ceux qui trahissent, insultent ou battent..
Si nous étions encore à cette époque là, alors effectivement, nous serions loin de pouvoir prétendre à des jouets neufs pour 2007.
Nous aujourd'hui, on en chie et on est aidé par personne.
On ne peut même pas jouir de nos peines, on ne peut même pas, en tant que " grand club ", en tant que " club de la capitale " , bénéficier de l'indulgence.
On ne peut pas passer pour des gens qui luttent contre le racisme, contre la violence, contre la mucovicidose, contre la relégation, contre les joueurs un peu mercenaires ou contre un logo mal placé sur le maillot.
On ne peut pas se plaindre d'un arbitrage injuste ou un lynchage organisé.
Par ce qu'on est un " grand club ", avec tous les inconvénéants que cela comporte, et sans pouvoir jouir des avantages.
Nous sommes un grand club historique et géographique.
Mais des joueurs aux supporters, on nous a tout pris et on ne nous lache plus rien.
Il faudrait que nous soyions tout en haut, à tutoyer les sommets, mais en laissant place à la continuité, sans argent et en dénigrant tout ce qui tourne de près ou de loin autour du club, des supporters aux agents de joueurs, certainement pas plus malhonnètes ici que dans la sud.
On nous demande de chatouiller Lyon, sans nous laisser de temps.
Le temps nous savons tout ici qu'on ne l'a pas, qu'on ne l'aura jamais.
On nous demande de faire ça avec le porte monnaie d'un club qui peut se payer une partie de la défense de Nice, un joueur qui arrive de Chine et dont Lens ne voulait pas et un futur retraité qui s'embrouille partout ou il passe.
On nous demande l'impossible, nous voulons l'impossible.
A Paris, il faut des sous et mettre la politique du "
tout tout de suite ".
Je suis certain qu'on ne peut pas, qu'on ne peut plus se permettre ce que l'on se permettait il y a 15 ans.
Le marché à changé, les choses ont évolué, l'arrêt bossman à nivelé l'état de santé économique et sportive des équipes à tous niveaux.
Troyes peut être favori contre Paris, Reims à Rennes.
Et seuls ceux qui ont le blé ou la possibilité de se ramasser en construisant penndant 15 ans peuvent s'en sortir.
Les PSG est en plein anachronisme.
Il veut retrouver les valeurs d'antan, la façon de faire de Pépé et Mémé à une époque ou le foot surf sur la nouvelle vague.
Avec tout le respet que j'ai pour les hommes en place et surtout pour Cayzac que je pense sincèrement amoureux du club, je pense qu'il le conduit à sa perte, conduit par des investisseurs trop frileux.
On ne reprend pas le PSG pour jouer "petit-bras", pour finir 6ème la première année, puis 4ème, puis 5ème et enfin devenir Dauphin de Lyon au bout de 5 ans.
Ce club là n'est pas un club comme les autres.
Les joueurs ne peuvent plus jouer dans la sérénité et en deviennent systématiquement moins bons ici, en effet, comme les entraineurs d'ailleurs.
Voilà pourquoi au départ il faut qu'ils soient les meilleurs, les plus forts.
Les présidents ne peuvent plus prendre de décisions spéctaculaires sans passer pour des protecteurs de fachos ou des anti-ultra.
Leur seuls pouvoirs sont le fric et l'infliuence, la politique. Voilà comment se joue le foot français entre Aulas et Martel aujourd'hui.
Le PSG n'a même plus les moyens attractifs d'acheter des jeunes prometteurs, puisque ceux ci ne rêvent plus de venir.
Les supporters ont perdu toute crédibilité depuis longtemps tant l'amalgame est de mise dans ce pays.
Les arbitres et les instances se servent de nous comme d'un mirroir pour les nouvelles loies à mettre en place, profitant d'une image sans cesse détériorée.
Et par dessus le marché, seuls les à côtés semblent passionner au PSG, et les résultats sportifs sont en dessous de tout.
Par ce que oui, après 4 victoires en 17 matches, on peut commencer à le dire.
Et quelque en soient les raisons, chance, pas de chance, le gardien d'en face qui est bon, le notre qui a une crampe...
Au final, sur les 6 derniers mois, vous et moi nous avons pu nous réjouir à combien de reprises?
Combien d'heures à souffrir? à pousser? pour au final repartir la tête basse en se demandant comment on va faire pour la relever?
Et lorsque la victoire était là, qu'on la tutoyait, c'etait encore dans la souffrance, dans la crispation, dans une ambiance nauséabonde.
Et parfois ça tenait jusqu'à la dernière seconde, parfois non...
Quand je regarde mon club, celui que j'aime à ma façon, celui que je continue à défendre partout ou je vais, j'ai l'impression de regarder cette vieille femme, celle à qui on vient d'accepter une place au milieu des petits vieux, là ou c'est sur, elle sera bien.
J'ai l'impression qu'on fait tout pour la faire tenir encore un petit moment.
Le lundi suivant on passera de un à deux comprimés.
Cette femme là, elle fait plus de projets pour l'avenir, elle cherche juste à savoir s'il y aura un demain et si quelqu'un continuera de ressentir le besoin de venir la voir.
On connait tous un jour ou l'autre, avec nos parents ou nos grands parents, ce genre de situation.
Ma grand mère du côté de mon père vit actuellement dans cette situation.
Et parfois j'enrage quand je n'arrive pas à me trouver 5 minutes pour aller la voir.
Par ce qu'aller la voir n'est plus depuis peu, un réel besoin.
Par le manque de retour que j'y trouve en y allant du fait de sa maladie, ça devient petit à petit, et aussi dur celà puisse t-il paraitre, une corvée de plus dans une semaine déja bien chargée.
Plus de plaisir.
Comment faire quand il n'y a plus de plaisir, quand on fait l'effort encore cette fois, et qu'on souffre pour ne rien avoir en retour..
Combien de temps un homme peut il tenir comme celà? combien de temps peut-on garder la foie?
Un jour ou l'autre, tous les optimistes béats finissent par tomber, par se faire de moins en moins présents, dans la tête et dans les mots.
On perd nos racines, nos points d'attaches et tout se barre peu à peu.
Un jour ou l'autre, il faudra bien rouvrir Boulogne, un jour ou l'autre, il faudra bien qu'on reprenne du plaisir en regardant jouer le PSG, avec des mecs énormes, qui savent faire ce que vous et moi ne saurons jamais faire.
Un jour ou l'autre il faudra bien qu'on puisse faire venir de grands joueurs, mais pas à 31 ou 32 ans, pas pour finir leurs jours dans une ville sympa, non, pour le challange sportif, réèllement.
Sommes nous encore capable d'imaginer le PSG dans 5 ans en demi-finale de la LDC, de grands joueurs qui la composent, et tout cela ayant pris naissance avec Lacombe et Traoré? Avec Rodriguez et Dramé?
Sommes nous sincèrement, nous, capables de soutenir avec autant de ferveur, un club un peu raciste, un peu siffleur, mauvais en foot, mauvais en affaires ou en réputation, qui nous coute plus que nous rapporte? peut-on aimer un club comme ça, aimer tout court?
Est-ce plus fort que tout? est-il impossible de lacher prise?
Ma question est la suivante:
Comment je fais là les gars? Et même après la victoire à Troyes?
Comment? Mais pourquoi diable ne suis-je donc plus capable de croire au père Noel?
Bonnes fêtes à tous, sincèrement.
Allez Paris... oui, encore...
Safet qui ne peut plus que remonter.
PS: Mon premier voeux, pour que tout revienne dans l'odre: qu'on arrête de se bouffer entre nous déja et que chacun accepte l'autre comme il est ou comme il n'est pas.