Nicollin à Paris : c'est (enfin) fini ?

[Thibaut]

Tout le monde sait que Louis Nicollin est le propriétaire du Paris Handball.
On attendait donc avec impatience sa réaction suite à la descente du club en Division 2.
Elle est enfin arrivée, dans le Midi Libre du mercredi 3 juin. Voici ce qu'a déclaré le gros Loulou :

« Il y a encore le "N" sur les maillots, on a continué à donner des sous. Il faut être con, quand même ! [?] Je crois qu'on ne va pas garder le hand à Paris. J'en ai soupé ! »

Cerise sur le gâteau, Olivier Girault, l'entraîneur du club, a même droit à une petite dédicace :

« Je pense qu'Olivier Giraud a mis la charrue avant les boeufs. Il s'est cru investi d'un rôle d'entraîneur alors qu'il n'en était pas capable. »

Et dire que certains supporters du PSG se plaignent en ce moment... 

A+. Thibaut

[MARKOSUP]

C'est l'effet positif des crises, ça permet de nettoyer les saletés ©.

Au moins, on saura de quoi parler avant le prochain PSG-Montpellier...

Et dire que certains supporters du PSG se plaignent en ce moment... 

[psg76]

il est en forme le gros porc ...pris sur equipe.fr : 

comment fracasser un entraineur certes sur le fonds il a raison , mais je pense que sur RMC l année prochaine ils vont se faire massacrer par les coatch , capt'aine  , Rigolo etc...

Nicollin tacle Courbis
La montée en L1 n'a pas réchauffé les relations entre Rolland Courbis et son désormais ex-président Louis Nicollin. Ce dernier s'est en effet félicité d'avoir engagé René Girard à Montpellier, tout en taclant sèchement son prédécesseur sur le banc du MHSC. «Il faut des vrais pour entraîner la Paillade, affirme "Loulou" dans L'Equipe. Des mecs qui sont là de 8 heures du matin à 6 heures du soir. On avait pris un entraîneur qui avait un deuxième boulot. On le savait. Je n'ai vu qu'après que j'avais fait une erreur.»

Et quand on lui dit que Courbis aurait aimé prolonger l'aventure montpelliéraine, alors qu'il avait annoncé son désir de partir depuis des mois, Nicollin enrage : « Moi, les mecs qui font du cinéma, ça ne m'intéresse pas, je suis un homme des poubelles. Quand on me dit quelque chose, je le prends pour argent comptant. J'ai soixante-six ans, je ne suis pas un président pipeau. (...) Ce ne sont pas les conseils d'un entraîneur sans diplôme qui vont me faire trembler. » Qu'on se le dise, à Montpellier, la page Courbis est définitivement tournée.