Bon, puisqu'on parle de l'Euro et des problèmes personnels que cette compétition engendre, j'ai un souci dont j'aimerais m'ouvrir à vous...
D'aussi loin que je puisse me souvenir, j'ai toujours abhorré les italiens. Déjà, parceque je ne les aime pas. Et d'une (c'est bien mon droit, non?). Ils sont volubiles, gominés, superficiels et dangereux sur la route. Non mais serieusement, qui a déjà conduit en Italie? C'est une expérience à vivre, je vous assure. Et encore, j'étais, parait-il, chez les italiens les moins italiens (dans le nord). Là-bas, les feux tricolores semblent ne pas avoir la même utilité que chez nous. Chez nous ils revetissent un caractère impératif. Là-bas, ce serait plutôt dans le genre indicatif. Vert: "allez-y mais faîtes gaffe, il y a quand même de fortes chances que vous vous retrouviez nez-à-nez avec un gars qui aura grillé le rouge". Rouge: "attention, si vous passez, vous risquez de vous retrouver devant un peu plus de voitures que si ça avait été vert". Bon, faut le savoir en fait. Et ensuite on klaxonne... Bon, bref, pardonnez cette digression circulatoire, mais c'était juste pour vous dire que je n'aime pas du tout du tout les italiens. Je l'avais déjà dit?
Bon, bref, d'habitude, la perspective de les voir se faire corriger par n'importe quelle équipe que ce soit me remplit d'aise et me fait légèrement frémir l'échine.
Mais cette année, ben je suis bien embêté. Car je me suprends presque à les trouver sympathiques à cause de nos deux parisiens... Même du temps de Simone, ça ne m'avait pas fait ça. Diantre, si ça se trouve je viellis et je faiblis!
Bon, bref, positivons: s'ils volent, je serais quand même content, ça reste des italiens, et s'ils passaient... ben aussi! Tout benef!